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Dès notre arrivée, le temps d’attacher les amarres, nous allons rendre visite à nos amis de , dans la marina voisine.
Géraldine nous accueille dans des positions pour le moins surprenantes . . .
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! ? ! |
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Retenez bien son visage car Géraldine est très douée et vous pourriez la voir bientôt faire une démonstration dans un cirque non loin de chez vous (!). |
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D’autres s’y sont essayé mais ils s’avèrent moins élégants. |
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N’est-ce pas Laurent ?… !
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Tandis que les enfants s’amusent… Les grands passent du bon temps autour du barbecue… Pardon !… autour de la parilla. |
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Recette : De l’ail, du persil et surtout… 3 kilos de beurre par pain… !?! |
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Les Belges savent faire de bonnes choses quand ils veulent (!) Domi, tu "n’saurais" pas en faire " houit " de plus s’il te plait ?… ! »
Parmi les invités, je vous présente Laurent et Fabian. |
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Laurent qui, après avoir grimpé au rideau, fait le joli cœur. |
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Fabian qui, lorsqu’il ne s’agite pas à quelque occupation, fait le clown. |
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Deux cœurs à prendre, à la condition d’aimer la mer car chacun navigue sur son voilier. Ils sont tous deux très sympathiques et savent très bien cuisiner. Ça peut servir !!! |
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Au club |
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Lorsque nous ne sommes pas au Club Cinave, chez nos amis Belges – Et oui, on ne choisit pas toujours, mais ceux-ci sont "fort" sympathiques (!!!) – nous sommes au Club Parque Nautico. |
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Le « Quincho » |
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Le Quincho est ce grand bâtiment, devant les bureaux du club. |
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Un « quincho » était à l’origine une hutte au toit de chaume. On appelle désormais « quincho » un bâtiment où l’on organise des fêtes. |
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Celui-ci a été entièrement fabriqué et aménagé par les « socios » de Parque Nautico. Et chacun a laissé son empreinte accrochée au plafond ou sur les murs. |
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Nous y disposons d’une grande salle, très conviviale, de deux immenses barbecues (deux autres sont également disponibles à l’extérieur), d’une cuisine entièrement équipée et avons l’autorisation d’utiliser la vaisselle que nos nouveaux amis du club laissent dans les placards. |
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Autre lieu, autre jour … autre « asado » … |
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Lorsque nous n’avons pas le courage d’aller jusqu’au quincho, nous pouvons désormais nous régaler d’une bonne côte de bœuf devant « chez nous ». En effet, grâce à notre ami Emilio, nous aussi disposons désormais d’une parilla devant notre passerelle. |
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Comment ferions-nous l’asado sans cela !?! |
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Lors de la visite de Maryse et Christian de Goyave, nous avons pu ainsi profiter pleinement de quelques journées très ensoleillées. |
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Nous sommes bien en hiver !!! |
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Nous sommes ravis d’avoir pu profiter de la compagnie de nos amis avant leur retour en Uruguay. D'autant que, en semaine, les seules âmes qui vivent à Parque Nautico, en dehors des passeurs et des 3 fous de , ce sont les perruches… |
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(photo Maryse) |
(photo Cathy) |
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… et les nombreux chiens, tout d’abord surpris de notre présence journalière, mais qui, très vite, sont devenus nos amis. |
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Voici Inti au second plan, Matute au premier plan, en compagnie de Christian… ... le moins docile !!! |
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Nous nous sommes convertis. |
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Vous l’aurez compris, la religion en Argentine, c’est l’Asado. Nous souhaitons connaître ce pays et ses coutumes. Nous nous sommes donc convertis. |
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Même si, quelques dizaines d’asados plus tard, nous devons avouer que manger de la viande… toujours de la viande… rien que de la viande… même si elle est très bonne… Ça lasse !!! |
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Mais nous ne pouvons qu’approuver cette convivialité qu’offre l’asado. Ici, nul besoin de bristol pour rendre visite aux amis. Nul besoin encore de passer la journée dans la cuisine pour leur faire plaisir. A tout moment, chacun peut arriver, très simplement, avec un morceau de viande, du pain et, aussi important que la viande, quelques bouteilles de vin argentin, vin délicieux, fruité à souhait, à un prix défiant toute concurrence européenne. |
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Et l’on profite d’une belle journée en partageant les victuailles.
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Nos amis du Club |
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Le week-end, nous faisons notre « petit-tour du club ». |
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Chaque groupe est alors installé devant le barbecue familial et nous pourrions, si nous l’acceptions, manger 5 ou 6 fois dans la même journée. |
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Qui a dit que les Porteños étaient peu aimables ?
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Une semaineplus tard, Rémy fait le tour de la marina et croise des « socios ». |
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Il y a là deux ou trois Eduardo - on ne les compte plus ! - Ruben, Juan, Pablo et autres amis, chacun propriétaire d’un bateau amarré dans ce club. |
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Le soir même, nous croisons d’autres « socios ». |
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Nous avons déjà dîné mais impossible de refuser. Nos assiettes sont déjà pleines et les verres ne désemplissent pas. Et nous avons même échappé de peu au téléviseur. Aucun ne pouvant admettre que nous en soyons privés, ils nous offraient celui du quincho. |
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Non merci ! Nous nous en passons fort bien ! |
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En attendant la suite, voici quelques-uns de ces amis du club : Eduardo, Eduardo, Claudia et Oswaldo. |
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Depuis ce jour, rares sont les week-ends où nous ne sommes pas conviés à nous joindre au groupe et nous pouvons compter sur chacun d’eux en cas de besoin. |
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Mais il paraît que nous avons beaucoup de chance. Dixit nos amis belges ou français ou encore des Argentins ayant connu d’autres clubs nautiques dont l’ambiance est loin de ce que nous connaissons ici. |
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C’est tant mieux pour nous ! |
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Car ayant bien l’intention de rester en Argentine quelques mois, nous n’aurions pu survivre à la solitude. |
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Avant de poursuivre les festivités au "quincho", |
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