Nous quittons Copacabana, dernière escale bolivienne.

Alors que nous pensions monter dans un autobus « normal », nous voici entassés dans des minibus.

Nous sommes tous des touristes. Tous chargés de sacs à dos.
Le toit ne suffit pas. Les sièges non plus !

Nous voyageons serrés comme des sardines. Rémy est plié en quatre.

Heureusement, nous n’avons qu’un quart d’heure de route - Ça ira !

Pour le passage de la frontière, tout le monde descend.

Les bagages descendent du toit… les minibus s’en vont… nous ne savons rien de plus.

Un peu plus tard… stop !

Nous reculons l’aiguille de nos montres d’1 heure, procédons aux formalités puis attendons assis sur un trottoir, en plein soleil, qu’un autre bus veuille bien venir nous chercher.

Notre accompagnateur bolivien est parti. Un Péruvien a pris le relais.

Cet homme s’évertue à nous parler anglais et s’avère très vite très collant. Il tente déjà de nous vendre visites des îles et autres circuits touristiques au départ de Puno…

Ça commence bien !
Et encore faudrait-il que nous y arrivions un jour, à Puno !

Peut-être devrions-nous prendre ces taxis locaux !

1 heure plus tard . . .

Deux minibus arrivent. Ils sont pour nous.

Sauf que pour Puno, il y a 2 heures de route.

Volume de la radio à fond… vitres grandes ouvertes… les sardines se dirigent vers Puno…

Les petits cabanons bleus sont des toilettes.

Nous arrivons à Puno.

Les minibus ne vont pas à la gare routière car l’entrée est payante ( !?). Ils nous déposent dans une rue quasi déserte, où pas un bus de ville ne semble vouloir s’aventurer.

Nos bagages sur le dos, pas un plan de la ville en poche, nous sommes un peu perdus.

Heureusement, une dame descend d’un taxi et nous propose un hôtel en ville.

Cette femme, comme beaucoup d’autres, vient en fait chercher les touristes aux alentours de la gare afin de leur vendre,  en plus de l’hébergement, la visite des îles.

Puno

Ici, on voit des ouvriers qui prennent leur repas.
Dans toutes les Andes, ce genre de service, dans la rue, est très courant.

Autre genre de transport

A part ces vélos taxis typiquement péruviens, Puno est une ville sans le moindre intérêt.

Une nuit dans un hôtel confortable mais très bruyant et nous partons pour la visite des îles.

Avec les curieuses îles flottantes des indiens Uros,
un séjour chez l’habitant sur l’île Amantani,
et un passage rapide sur l’île Taquile,
nous allons découvrir les différentes traditions de ces populations
du lac Titicaca . . .
 


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