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17 heures de bus et nous découvrons la Côte d'Azur locale.
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Avec ses grandes plages de sable blanc, Mar del Plata est la station balnéaire préférée des Argentins. Nous la découvrons aujourd’hui sous un ciel superbe. |
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Quelques rares maisons ont résisté au modernisme |
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Il fait très beau. |
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Certains vacanciers, précoces, prennent un bain de soleil. |
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Pour ce faire, il faut trouver les passages étroits et envahis de détritus, limités par les grandes clôtures afin d'interdire l'accès aux trop nombreuses plages privées des hôtels de luxe qui bordent la côte. |
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De l'autre côté, les centaines de cabanons de plage laissent imaginer ce qu'il advient de cette ville en plein été. Il faut toutefois admettre que cette ville a beaucoup de charme. |
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Les maisons des quartiers résidentiels sont superbes. |
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(photos prises pendant le trajet en bus) |
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Et les habitants de Mar del Plata sont, ma foi, très sympathiques... |
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Ah bon, vous n'êtes pas d'ici ?...! |
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Malgré maints passages au locutorio (centres téléphoniques), l’ami que nous devions rencontrer à Mar del Plata reste injoignable. |
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Tant pis ! Nous irons voir nos amies les bêtes, toujours plus fidèles que les humains. |
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Les otaries du port de pêche de Mar del Plata. |
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Les occupants de ce port ne sont pas ceux que l'on pourrait croire. |
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En effet, si les pêcheurs sont nombreux, ils ne sont pas les seuls à occuper les lieux. | |||
Et si les spectateurs sont nombreux, eux aussi, ce n’est pas comme on pourrait le croire pour les jolis chalutiers. |
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Ils sont là pour un spectacle inattendu qui s’offre à eux, un peu plus bas. |
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Même pas peur ! |
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Et lorsqu’ils y parviennent, après maints efforts et un peu de renfort... |
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... des dizaines d’otaries prendront aussitôt la place du fuyard. |
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Nul ne peut déloger ces otaries à crinières et la présence de l'Homme ne semble en rien les perturber. |
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Il y en a partout ! |
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Ces otaries n’ont peur de rien et sont ici chez elles. |
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Elles ont principalement élu domicile sur les rochers de la digue, dans l'avant port. |
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Elles s'y baignent ou se prélassent au soleil sur les rochers. |
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Ceci avec un plaisir non dissimulé !!! |
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Toute la famille est là. |
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On ne peut pas dire que l’endroit soit calme, ni qu’il embaume la rose. |
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Le cri des mâles ressemble à un rugissement et il est préférable d’éviter leur crachat. |
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Un petit détartrage, peut-être ?...! |
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Mais ne dit-on pas « Puer le phoque »… ! |
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Malgré l’odeur, nous ne pouvons nous résoudre à quitter ces superbes mammifères. |
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Dimanche 18 octobre. Nous rentrons à la maison. |
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4 heures plus tard . . . impossible de se tromper. |
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Nous sommes arrivés à Retiro, la gare routière de Buenos Aires. |
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