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Floripa est le nom usuel de Florianópolis. |
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Floripa est la capitale de l’Etat de Santa Catarina. Santa Catarina est également le nom de l’île sur laquelle est située la ville de Floripa. |
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L’île Santa Catarina est reliée au continent par deux ponts. |
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Le pont suspendu est ancien et fermé à la circulation. L’autre est hélàs trop bas (17 m de haut) pour laisser passer la plupart des voiliers. |
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La ville de Floripa est située de part et d’autre de ce pont. |
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Sur le continent, Floripa est très industrialisée alors que de l’autre côté de la baie, sur l’île, on peut se promener dans son centre historique ou dans le quartier chic. |
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Au centre ville, des rues pavées coloniales mènent à la Praça 15 novembro. En allant vers la mer, le Mercado Municipal est charmant et il est agréable d’y prendre un verre. |
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Si le centre a un certain charme, Floripa est avant tout une grande ville où quelques petites maisons résistent - pour combien de temps encore ? – à l’invasion des tours s’élevant dans toutes les rues. |
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La population est principalement d’origine germanique. Pour la plupart, les gens sont grands, blonds aux yeux clairs. |
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Cette population est également très aisée comparée aux habitants des favelas bien cachées dans la banlieue. |
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Et la sécurité est bien supérieure à celle de Rio ou de Salvador. |
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Le mouillage |
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Le pont nous interdisant de nous avancer près de la ville, nous mouillons devant le quartier Coqueiros. |
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L’endroit n’est pas très poétique mais idéal pour faire les courses et prendre le bus. | |||
Si l’on excepte les retours en annexe, bravant le ressac sur la plage et la houle de face, qui rendent les choses un peu compliquées, voire… mouillées !!! |
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Mais c’est tellement pratique. |
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Et « les filles » sont ravies de pouvoir aller et venir en ville comme elles le souhaitaient. |
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Nous débarquons sur la plage et, à 300 mètres de là, nous pouvons nous ravitailler dans le grand supermarché Angeloni, ou encore faire le plein de nos bidons de gaz oil à la station service juste en face. Nous profitons de l’amitié d’Aline et de sa bonne humeur, sans parler de sa gourmandise que nous partageons aisément. |
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Quelques jours plus tard . . .
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Ce sont « Les Goyave » ! |
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Maryse et Chritian arrivent, à la vitesse de l’éclair, de Salvador. Et oui ! Tout le monde ne navigue pas sur un gros balourd comme Vent de Folie ! |
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Nous fêtons les retrouvailles en dégustant un bon gigot d’agneau auquel Rémy ne sut résister, mijoté avec amour et passion par notre Coq préféré. |
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Jeudi 26 mars. Nous quittons Floripa pour une dernière nuit au nord de l’île. |
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C’est qu’avec tout ça, nous allons être en retard !
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Vendredi 27 mars. |
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Nous découvrons de jour ce beau mouillage et laissons à regret nos amis profiter encore quelques heures de ce petit village de pêcheurs tout à fait charmant. |
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Il est 10 heures 30. |
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Salut Aline ! Merci pour ton agréable compagnie et à un de ces jours ! |
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. . . et levons l’ancre. |
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Direction l’Uruguay . . . |
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