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Les jours suivants . . . Les activités sérieuses reprennent. |
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Quelques jours plus tard, ce sera le tour de Goyave. |
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Nous espérons pouvoir les retrouver tous à Piriápolis. |
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Pendant ce temps . . . |
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Dans l’attente d’un mécanicien – semaine Sainte oblige ! – les occupations ne manquent pas. |
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Et ici, elle est extra. Nous nous régalons aussi de bon pain français et de croissants pur beurre dont nous avions oublié jusqu’à l’existence. |
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Que rêver de mieux !?! |
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Nous faisons également la connaissance de Richard et Karima, des français installés à La Paloma depuis près de 4 ans. |
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Nous sommes chaleureusement invités dans leur ranch. Celui-ci est en pleine campagne. Nous traversons la forêt. La balade est superbe. |
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Nous nous délectons d’un succulent agneau au barbecue – 2 mètres de long le barbecue - ici, question viande, on ne fait pas dans la dentelle ! – auquel nous jetons un sort. |
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Tout ceci nous manque tellement. |
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Voici Richard : ![]() |
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Et voici Karima . . . ![]() |
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Nous rentrons chargés des excellents restes de l’agneau, de légumes du jardin, d’œufs frais, que nous offre la très sympathique Karima. |
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Richard et Karima, merci beaucoup pour cette excellente journée. |
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Réparation |
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Après la visite, expéditive, de quelques mécaniciens de l’armée, plus intéressés par nos euros que par notre moteur, nous faisons, grâce à Richard et Karima, la connaissance de Luis. Très honnête, gentil et compétent, Luis passe de belles heures "dans" notre moteur . . . |
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Tout semble fonctionner, mais nous devons le ménager. Nous allons pouvoir rejoindre nos amis à Piriápolis. |
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Départ… ?! |
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Jeudi 16 avril. |
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La météo est favorable. Nous partons. 6 heures – Tout le monde est levé… même Candice. |
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7 heures - Nous larguons les amarres. Le Capitaine est satisfait. |
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Nous passons la digue, visons les balises du chenal entre les récifs et nous apprêtons à mettre la voile. |
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7 heures 15 - Le moteur fume…chauffe…s’arrête. La barbe ! |
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De nouveau, le courant nous pousse sur les cailloux. Ceux de la digue. Nous devons jeter l’ancre. |
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8 heures 30. |
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Heueueu…C’est combien la formule à l’année ?… ! |
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Même galère pour attraper la bouée.
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Même manœuvre que la première fois pour contourner le quai et reprendre notre place devant le ponton. |
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Mais cette fois, nous sommes rodés ! |
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Réparation II |
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Luis, notre mécano qui doit embarquer sur un voilier dans quelques heures, vient malgré tout. | ||||
Une durite a fondu. |
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Notre gentil mécanicien court sur le quai, revient avec une nouvelle durite, ôte le calostat, refait des joints, vérifie le circuit d'eau de mer . . . |
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Notre vieux moteur daigne redémarrer. |
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Mais Luis doit partir. Il nous quitte quelque peu inquiet. La pression d’eau de mer est trop faible et impossible de démonter la pompe sans risquer de casser les vis du capot de la turbine qui s’avéreraient introuvables ici. |
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« Vous pouvez tenter de partir. Laissez le réservoir d’eau ouvert et ajoutez de l’eau régulièrement. Génial !?! |
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Luis est parti. Nous tirons sur les amarres, les yeux rivés sur la température.
Un quart d’heure à peine… il chauffe de nouveau. |
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Rémy s’obstine et décide de démonter toute la pompe afin de vérifier tout le circuit d’eau de mer. |
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Ceci tout en poursuivant, couvert de suie, son rôle de professeur. |
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Tout ce qui peut l’être est démonté, vérifié ou changé. Quelques belles heures plus tard et après maint essais infructueux. . . . . . Ça marche !. . . Enfin, pour l’instant ! |
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Il nous reste à pomper les dizaines de litres d’eau de mer qui ont coulé dans les fonds pendant les essais, hisser notre génois de remplacement "re-découvert" dans un coffre inaccessible, et attendre une météo favorable pour partir.
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Aussi tenons-nous à lui faire nos adieux. |
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Salut Hernan ! Ton sourire nous manquera. |
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Départ . . . Et cette fois, ce sera le bon !!! |
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Lundi 20 avril – Le départ de La Paloma est prévu demain matin. |
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Mardi 21 avril - 6 heures – Tout le monde est sur le pont. |
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Mais nous ne sommes pas encore partis. |
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Avant de larguer les amarres, il nous faut demander à la tour de contrôle l’autorisation de quitter le port, leur donner pour la énième fois tout notre pedigree, et leur indiquer où l’on va et à quelle heure nous y serons. |
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L’heure d’arrivée ? |
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Il en sera ainsi dans tous les ports uruguayens et il faut savoir que, si les conditions météo sont jugées mauvaises par les militaires, ceux-ci vous interdisent purement et simplement de partir. |
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8 heures – Nous passons la digue puis la bouée du 18 juillet. |
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Là encore, nous devons appeler la tour de contrôle pour leur signaler que nous venons de passer cette bouée. |
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En Uruguay, aucun risque de se perdre. Les militaires veillent ! |
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La Paloma, c’est très sympa. |
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Pour atteindre Buenos Aires, il ne nous reste que 230 milles à parcourir, en 3 ou 4 escales. C’est peu. |
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De toute manière, nous savons que là bas, il y a un remorqueur. |
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Le moteur fonctionne mieux que jamais. Un bon petit vent arrière nous pousse. Nous mettons les voiles. |
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Tout devrait bien se passer. |
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Rendez-vous donc à Piriápolis . . . |
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