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Samedi 13 septembre 2008. |
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La mangrove. La plage de sable blanc qui se découvre à marée basse. Et le ciel qui, au coucher du soleil, se teinte de rose. |
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Des pirogues passent sur la rive opposée. Nous n’irons pas visiter. |
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Notre programme est très simple : |
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Nous ne quittons le bord que pour aller nous promener, nous baigner dans une eau à 35 degrés et jouer au ballon sur la plage. | |
Nous profitons aussi de petites averses quotidiennes, hélas trop brèves, pour une bonne douche. | |
Et là-haut … y-a plus d’eau ?… J’suis pleine de savon moi !!! |
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Les jours passent . . . Nous sommes bien ! |
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Seul inconvénient : les moustiques. |
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Le soir, nous devons nous cloitrer dans le carré, derrière les moustiquaires, sous peine de nous faire « bouffer ». |
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Avec ou sans vent – Avec ou sans répulsif – Rien n’y fait ! |
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Pourvu que l’un d’eux ne porte pas le palu ! Si cela doit durer encore un mois, nous ne tiendrons pas ! |
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Si nous apprécions malgré tout l’endroit et son calme, nous souhaitons poursuivre notre découverte de la région. |
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Il nous faut donc partir.
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Mercredi 17 septembre – Nous levons l’ancre. La navigation sur le Saloum n’est pas du tout évidente. |
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Ici, prendre les virages à l’extérieur comme en Casamance, ou à l’intérieur comme en Gambie… …On oublie. |
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Le passage ? |
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A droite… à gauche… au milieu… où que nous passions, les fonds peuvent remonter très rapidement. Nous progressons donc, les yeux rivés sur le sondeur, slalomant sans cesse et répétant les demi-tours, pour nous dégager, dès que nous touchons. Le paysage est vert rappelant un peu la Gambie, mais en beaucoup moins beau. |
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Nous découvrons enfin le feuillage des baobabs. |
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Le fleuve est large et, outre ce petit village aux cases de paille . . . |
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. . . ou encore le Village de Maya et sa cabane des pêcheurs. | |
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A moins que ce ne soit la cabane à sieste ! |
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Seule la mangrove semble occuper les lieux. | |
A vrai dire, pour l’instant, la route est un peu lassante. |
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