Lors de notre première escale, nous n’avions passé qu’un trop bref séjour à Ehidj.

C’est dans ce site fabuleux que nous nous sommes lancés - enfin et entre autres - dans le changement des plexiglas de nos hublots (cf. page "Travaux à Ehidj").

Ce travail ne nous attendant QUE depuis 2 ans et demi !

Nous avions aussi profité du charme des petits bolongs alentours.

En Casamance, les couleurs et les chants des oiseaux sont un éternel enchantement.

Allez, une fois n’est pas coutume !
Il faut bien quelqu’un pour penser au repas du soir !

Bonjour Ibrahim !

Heueueu… si tu pêches quelque chose, tu penses à nous.
Parce que moi… pas une touche !!!

Ainsi, n’ayant pas de viande… plus d’œufs…
et aucun gentil poisson n’ayant daigné mordre à l’hameçon…

Ah ! Si, pardon !
Rémy s’adonnant à la pêche, depuis le bord, avait bien ramené quelque chose.

Un horrible, affreux, cauchemardesque  poisson.
    
   

Beurk ! Et ça croasse en plus !!!

Enfin, la date limite d’envoi des TPE pour Candice approchait.

Ce fut donc contraints et forcés qu’à  peine 5 jours après notre arrivée, nous quittions Ehidj pour nous rendre à Ziguinchor.

Mais notre retour était programmé. Car Ehidj, nous adorons.

Et le superbe "atelier" sur la plage nous attendait pour terminer nos hublots.

Une semaine à Ziguinchor et un mariage à Kachouane plus tard…

Nous sommes le 23 janvier lorsque nous partons, toujours avec la même vigilance, retrouver nos amis de Ehidj.

Parce que... nous n’avons toujours pas de sondeur !
(Un peu de patience, la page 'Travaux" suit !)

Candice vient de quitter de nouveau ses amis de Kachouane. Mais dès que nous naviguons, son sourire devient immuable.

Quand elle ne chante pas à tue-tête !
Mais nous vous épargnerons quelques enregistrements que nous gardons précieusement à des fins de chantage éventuel !!!

La vie à Ehidj

Dès notre arrivée, nous nous préparons, non sans peine, à installer notre nouveau filet acheté à Ziguinchor.

Quel bazar !

Si avec ça on n’arrive pas à mettre du poisson dans la poêle !?!

L’Homme des Bois va à la chasse… au bout de bois. Ceci afin d’accrocher notre filet.

Finalement nous opterons pour une branche de palétuvier…accroché aux palétuviers.

Et nous cherchons le meilleur emplacement tout en profitant de la nature, nous attardant à admirer le moindre oiseau perché sur une branche.

Mais nous avons encore quelque progrès à faire.

Le poisson se fait rare et petit. . . . . .très petit !

Parfois quelques Cobos, tout justes bons pour servir d’appât, que les poissons mangeront sans même se laisser piéger.
D’autres jours, des crabes viendront faire de jolis trous dans notre filet nous contraignant à les désarticuler pour les sortir de leur piège.

Quelle  poisse !

Nous sommes encore bons pour les pâtes et le riz !

Heureusement certains midis, une dégustation d’huîtres de palétuvier grillées s’improvise sur la plage.

Nous avons bien tenté une dégustation sur notre barbecue, mais sa capacité est bien faible comparée à l’appétit de l’équipage.

C'est tout ?...!

Ou alors ce sont les villageois qui nous invitent alors que nous nous promenons.

Aujourd’hui, hélas, un repas est organisé pour le 8ème jour du décès de la maman de Pape.

Le soir, c’est « bounouk et blabla » chez Léon, en compagnie de Philippe naviguant sur Michka, Antonio sur Waran ou Georgi et Sylvia sur Lina et de ceux qui passent - Médard, Cikindo, Pape, Bambo, Louis, Pierre, Paul, Maurice, Marie-Louise, Cécile, Bernadette…

A propos de soirée. Que devient notre jeune fille loin de ces folles soirées à Kachouane ?

Et bien, me croirez-vous si je vous dis que Candice devient casanière ?

C’est pourtant vrai.

Voici 5 jours que nous sommes à Ehidj et elle n’a toujours pas mis un pied hors du bateau.

Si ce n’est quelque clownerie au grand dam de sa mère qui tient à sa vaisselle.
Le reste du temps, elle bosse. 
 

Oui, oui, elle bosse vraiment !

Ayant "du pain sur la planche" et manifestement bien décidée à rattraper le retard accumulé, elle refuse toute sortie.

Mais en ce dimanche  29 janvier,  elle fait exception.

Aujourd’hui, c’est la fête chez Léon.

Georgi et Sylvia arrosent leur départ.

Bounouk et sangria coulent à flot.


Bambo, Cikindo, Georgi, Philipp et Antonio

Bambo et Paul

Léon et Antonio

Rémy et Georgi

Petit message personnel à Daniel :
Il est temps que Baloo prenne la mer, son copain Georgi est bientôt au Brésil !

Précisons que Baloo est un oxygène, comme Vent de Folie. C'est le n°15 et, d'après les photos, il est superbe.

Merci à Daniel, que nous espérons rencontrer un jour, pour toutes les infos et pour sa fidélité sur le site.

NOUS (!)

Nous débutons cette soirée par une… "ventrée" d’huîtres.

Désolée, je ne peux trouver meilleur terme tant nous en avons mangé.
Enfin… moi surtout !

Puis un excellent repas offert par Léon pour ses amis ayant vécu plusieurs mois au village. Séjour au sein même de cette population de Ehidj que Georgi et Sylvia n’oublieront jamais semble-t-il.

Il y aura même un gâteau d’anniversaire.

Car ce soir, c’est l’anniversaire de Georgi.

Un peu dur le gâteau, hein Georgi !

Bon anniversaire !
Dommage que vous partiez, vous nous étiez bien sympathiques.

Tout le village est convié et petits et grands finiront cette soirée en dansant.

Les plus jeunes sur le dos de leurs mamans….comme toujours !
Dès le lendemain. . .

Nos petites "tournées bobos" reprennent avec Lemou qui s’est blessé en jouant au football. Occasion pour nous de faire connaissance avec Rose et sa famille.




(Photo de Philippe - Michka)

Puis de nouveau des journées calmes, avec nos amis, tout aussi calmes.

Chut ! C’est l’heure de la sieste !

Attention !
A Ehidj plus qu’ailleurs, la léthargie ambiante serait vite contagieuse si l’on n’y prenait garde.

Et nos retours à bord de Vent de Folie sont toujours enchanteurs, tant ce paysage est superbe.

        
(Coucher de soleil photographié par Candice tandis que nous dégustions du bounouk !!!)

Incroyable mais vrai.
Nous avons eu, à Ehidj, la visite du Père Noël.


Vous êtes sceptique ?     Alors suivez-moi !


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